EMMA. – Et maintenant, monsieur, je vous demanderai la permission de me retirer. Si je suis revenue, c’est pour vous remercier de votre peu d’obligeance.
HECTOR, surpris. – Comment cela ?
EMMA. – Mais, oui, car, sans cela, je me serais vengée de mon mari... et il ne m’aurait pas demandé pardon...
HECTOR. – C’est vrai, pourtant...