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Critiques de Georges-Gustave Toudouze (10)
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Le sous-marin : Roi de la mer

Au moment où s'achevait la première guerre mondiale, le concepteur américain des premiers sous-marins modernes, Simon Lake déclara :

"The fantasy of Verne is the fact of to-day".

Le fantôme du capitaine Némo semblait planer au dessus de l'époque !

Pour Georges- Gustave Toudouze, c'est la puissance maritime aux mains des alliés qui avait réglé le sort de la "Grande Guerre".

Et c'est l'exploitation de la mer qui allait régler le sort de la "Grande Paix".

En 1920, l'écrivain, membre de l'Académie de Marine, fit paraître, dans la collection "Monde et Science" des éditions Alphonse Lemerre, un joli petit ouvrage documentaire, intitulé "le sous-marin roi de la mer".

Le concept était sorti d'un cerveau français, d'un des plus beaux des "voyages extraordinaires", de la plume de celui qu'Hugo appelait : "l'homme qui marchait un pied dans l'avenir".

Le fantôme de Jules Verne plane toujours sur notre époque !

L'ouvrage de Georges G.- Toudouze est illustré de trente-cinq photogravures.

Il est articulé en quatre grandes parties, précédées d'une introduction, "fantaisie de Jules Verne", et suivies d'une conclusion, "la mer nourricière" :

- de la fable à la vie

- le poisson d'acier

- La première guerre sous la mer

- le royaume des mers

L'ouvrage a, bien sûr, vieilli.

En 1920, pour Gustave G.- Toudouze, le XXème siècle sera le grand siècle de l'exploitation sous-marine, l'âge de l'exploitation des abimes de la mer.

Le magnifique avenir du sous-marin doit être de nourrir l'humanité.

Peut-être demain, certainement après-demain ...

Le propos est peut-être plus encore en avance sur son temps que ce que son auteur se soit permis d'imaginer dans ses pensées les plus hardies.

Le livre, un peu désuet et poussiéreux, est pourtant passionnant.

Rédigé de manière fine et littéraire, il fait partie de la grande famille des ouvrages de vulgarisation scientifique, de celle qu'on aime avoir lue et qui apporte plaisir et savoir ...





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Cinq jeunes filles chez les pirates

Martiale Cartier (descendante de Jacques) et son équipage appareillent à bord de l'Aréthuse. L'appel du large à neuf ans, entre les murs de sa chambre, à travers les aventures de filles qui n'ont pas froid aux yeux, je vous le dis, cela ne s'oublie pas!
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Cinq jeunes filles sur l'Aréthuse

Souvenir de lecture de gamine... quand je piochais dans la bibliothèque de jeunesse de ma mère^^

L'époque des séries de la bibliothèque verte pour le plaisir de retrouver de jeunes héros ou héroïnes malins et intrépides.

La particularité des cinq jeunes filles et le cadre maritime que je trouvais très exotique.
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Cinq jeunes filles aux Açores

Roman captivant. Ecriture alerte. J'ai beaucoup aimé et gardé un très bon souvenir de ce livre.
Lien : http://araucaria.20six.fr/
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Cinq jeunes filles en Armorique

Sur une goélette, cinq jeunes filles, Geneviève, Anne, Paulette et Marguerite, toutes amoureuses de l'océan, constituent l'équipage de l'Aréthuse, sous la houlette de la capitaine Martiale Cartier. Lorsque la tempête fait rage, une avarie de moteur survient, on sauve l'équipage et les animaux d'un yacht, mais une aventure mouvementée attend nos marins. Il y a quelques temps déjà que j'ai lu ce livre, mais je me souviens avoir apprécié la plume joliment travaillée de l'auteur malgré son charme un peu désuet. Le goût de l'aventure sur les mers fait envie, mais c'est surtout les belles descriptions, très précises, de tout ce qui se passe sur et sous l'eau, des îles et des ports, de la Bretagne à l'Irlande, que j'avais aimé.
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Cinq jeunes filles aux Açores

Un livre jeunesse quatre étoiles. Grâce à cette série, j'ai pu en imagination être skipper, à la manoeuvre sur un voilier, et visiter des lieux de rêve. Beau souvenir de lecture.
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Le Petit roi d'Ys

Lu et relu des dizaines de fois.

La mer, avant tout ; la Bretagne, qui était pour moi une terre lointaine. Un royaume mythique à découvrir, de l'aventure, des méchants et des gentils et surtout je pense, ce qui m'a le plus retenue est probablement cette belle amitié entre la fillette riche et choyée, et le petit marin orphelin. Et la fin, pleine d'espoir. J'aime les belles fins, qui donnent envie de sourire, ou de pleurer, mais d'émotion, pas de tristesse.

Dès que j'ai pu partir en vacances loin de ma famille, j'ai choisi la Bretagne, à l'autre bout de la France, à cause de ce livre. Et je dois dire que, plus de 50 ans après ma 1ere lecture de ce roman, je ne connais toujours pas Morgat, mais c'est dans mes projets, dès que je pourrais ! Et je l'y relirais encore une fois.
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Cinq jeunes filles aux Açores

Gamine, j'ai dû le lire au moins deux ou trois fois: ah! toutes ces aventures et cet enthousiasme! A glisser peut-être dans les mains de nos enfants pour leur donner (ou re-donner) le goût de l'aventure livresque!
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Pour tout l'or de la mer

Comme Paul Féval, autre breton bretonnant, Gustave-Toudouze, écrivain estimable en son temps, eut un fils qui continue à exploiter la renommée paternelle. On a mis sur la couverture de ce volume une photographie représentant un scaphandre dernier modèle sur le point de plonger, et qui fait songer aux exploits récents de l’Artiglio. Bien entendu, c'est une vaste blague : à l'intérieur du volume il n'est question ni de scaphandriers, ni de trésors enfouis dans la vase. Les imbéciles qui auront acheté le bouquin sur la foi du dessin de couverture seront punis de leur bêtise une fois de plus, et ce sera bien fait. Mais les amateurs de bretonneries seront bien servis. Il y a un héros qui s'appelle Yves Pleven, avec une fiancée qui s'appelle Guillemette de Kernuz, et des couchers de soleil sur la lande, et des rochers écumants, et des ajoncs, et tout ce qui s'ensuit. Il y a aussi un traître et une traîtresse, un soi-disant comte d’Izan et sa fille, qui se prétendent capables d'extraire l'or tenu en suspension dans l'eau de la mer. Mais c'est de la frime, tout comma le dessin de couverture, et on s'apercevra, à la fin, que le soi-disant alchimiste moderne n'est qu'un vulgaire faux-monnayeur. Ce feuilleton copieux, et d'ailleurs consciencieux, quoique démodé, serait ennuyeux à se décrocher la mâchoire s'il n'y avait, vers la fin, le récit d'un crêpage de chignon magistral entre la petite bretonne Guillemette et la fille du comte-traître, laquelle se prénomme Raymonde, comme Madame Machart. Tout le reste n'est qu'un pâté littéraire qui aurait pu avoir du succès, il y a 30 ou 40 ans, servi en tranches aux lecteurs de la Petite République, mais qu'il n'y avait absolument aucune raison raisonnable d'imprimer en 1932.



Régis Messac

Les Primaires, n° 34, oct. 1932


Lien : https://www.regis-messac.sit..
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Fanfan la tulipe

Indissociable de Gérard Philippe et de la poitrine de Gina Lollobrigida, c'est une roman de cape et d'épée, d'amour au rythme très enlevé qui se lit avec grand plaisir.
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