Autre cas, tout récent, celui d'un professeur, victime de troubles très graves mais dont l'origine était mystérieuse. À tel point qu'on avait suggéré que cette personne serait envoûtée - dans ce cas, Georges Hadjo préfère parler « d'agression psychique ». Consulté, il devait faire ses clichés et s'apercevoir qu'il ne s'agissait ni d'un envoûtement, ni d'une agression psychique mais bel et bien d'un cas d'autisme, trouble psychologique que le rayonnement révèle de manière précise.