Le feu rouge approchait. Encore deux cents mètres. Robert passa au point mort. Trois voitures le précédaient. Avec un peu de chance, cela suffirait.
La distance s’amenuisait. Bientôt, il parviendrait à ce qu’il nommait le point critique. L’endroit à partir duquel s’il ne freinait pas, et si le train de véhicules devant lui ne bougeait pas, l’accident devenait possible. Il préférait ne pas avoir à le franchir.