Le public, suivant la direction donnée à l'opinion par les journalistes, était loin d'être sympathique aux exposants. On venait à l'atelier Nadar pour rire un peu. On s'esclaffait devant les tableaux de Cézanne plus encore que devant ceux de Monet, de Renoir, de Pissarro, de Sisley et de Degas. Ceux-ci étaient des farceurs, Cézanne était un fou.