Dès cette première signature existent les deux points qui se trouveront dans plusieurs signatures des premières années et le trait qui subsiste plus longtemps et même reparaît de temps à autre, jusqu'aux dernières années, soit à la fin du nom, soit sous la date. Faut-il voir dans ces deux points et celui placé sur l'I la possibilité d'un signe maçonnique ? Il est curieux, à ce propos, de signaler que, dans « Avant et Après » (page 87 du manuscrit), Paul Gauguin a pris la précaution de dire qu'il n'a jamais été franc-maçon, ce qui laisse sous-entendre que certains contemporains ont cru à son appartenance.