On ne lâche pas un prétendu prédateur en liberté, sans courir soi-même d’éventuels risques. L’affaire a déjà pris beaucoup d’ampleur, l’opinion publique ne comprendrait pas une telle magnanimité. Vous avez pu, Cher Maître, vous rendre compte par vous-même du phénomène médiatique que suscite ce drame.