La francophonie est un pari sur l’avenir ; il peut être gagné, si les institutions francophones se gardent d’engendrer des clubs d’initiés et de construire un monde clos. Il le sera si la francophonie sait être selon la belle expression de son plus ardent promoteur, Léopold Sedar Senghor, une contribution à l’universel. Car, sa vocation n’est pas de donner aux autres des leçons, mais de leur proposer des exemples.