J'ai découvert le haïku par hasard dans une bande dessinée de Cosay.
Séduit, je me suis imprégné des anciens que je relis régulièrement. Je trouve mes petits « riens » le plus souvent sur mes chemins de montagne. Je ne les note jamais, les construis dans ma tête jusqu'à satisfaction, parfois pendant plusieurs jours.
Je voudrais pouvoir en écrire jusqu'à mon dernier souffle...