Comme il le fera plus tard pour le Radeau de la Méduse ou l'Affaire Fualdès, Géricault analyse tous les moments d'un drame, avant de se prononcer pour celui qui lui paraîtra le plus expressif. Il va même jusqu'ici à s'intéresser au préalable de l'action. Peut-être a-t-il existé un dessin où il aurait peint le désespoir d'Oenone retrouvant Pâris mort et sa propre mort.