Les Italiens rient de la vie : ils en rient beaucoup plus qu’aucune autre nation, et avec plus de vérité, de persuasion intime, de mépris et de froideur qu’aucune autre. […] Ceux qui croient que la nation française est supérieure à toute autre en cynisme font erreur. Aucune n’égale en cela l’italienne. Qui unit la vivacité naturelle (supérieure à celle des Français) à l’indifférence acquise envers toute chose et au peu d’égards envers autrui, conséquence du manque de société, qui ne pousse pas les Italiens à se soucier d’autrui.