Ils arrivaient à la caserne en voiture lorsqu’un message leur parvint du central. Confus, comme toujours quand il s’agit de morts violentes avec suspicion d’homicide. Une femme de ménage avait trouvé son employeur mort au milieu d’une mare de sang, dans la cuisine de son appartement. Une patrouille de la brigade d’intervention rapide était déjà en route.
Ça allait être une longue journée, pensa Fenoglio.