Ce que je tente ici est une triple mise en relation : entre notre préhistoire humaine et ce que furent nos ressources profondes pour affronter chaque nouveau défi ; entre ces ressources originelles et ce que nous savons aujourd’hui de nos capacités cérébrales, notamment d’apprentissage et de changements volontaires ; entre ces dernières et nos chances d’un changement de société, d’une transformation de civilisation