Et bientôt, derrière la longue file des légionnaires, les premiers chariots s’ébranlent enfin sur la voie qui mène à Antioche. La plupart n’ont pas le cœur de se retourner vers ce passé qui se consume comme un fétu de paille. Si la mort ne les rattrape pas, ces pauvres gens iront grossir les rangs des bidonvilles d’un autre camp, à l’autre bout de l’empire…