Oui, je suis un guetteur. Je guette le reliquat hors marché de la vie sur terre… En attendant les oraisons finales, je guette la vie et m’en étonne. Là, je vois la guêpe maçonne, la poliste à taille fine, construire un édifice de papier aux angles parfaits, aux alvéoles groupées en coupelle orientée sur le vide, fixée au chaume sec d’une graminée par un pédicelle unique et délicat. (p. 118-119)