L’heure s’est arrêtée, entre ces arbres, ces maisons robustes et ces chemins de terre. On sent l’opulence passée se gonfler d’un orgueil ancestral, se patiner d’une grandeur éteinte, murmurant dans l’agonie des heures tendres, la noblesse défunte d’une fortune disparue. C’est une symphonie héroïque grave et digne, qui bruisse au milieu de ce paysage immobile.