Ainsi, soir après soir,François tombait dans les images,y disparaissait tout entier,s’y enfonçait, s’y noyait,en ressortait chaque fois le cœur transi d’émotions,l’âme bercée par les formes, les couleurs se relayant dans une suite immobile et fracassante qui rythmait ses émois.La voie sacrée des images était devenue sa manne céleste.Son silence.Sa prière.