Entre Maïwen et moi, ni dominée, ni dominante. Pour la première fois, je me suis sentie libre, sans impression d’appartenance. Toutes les deux, on est liées par une tendresse folle, mais je ne ressens jamais la sensation d’être captive ou un tant soit peu prisonnière. On est côte à côte, indispensables à l’autre, mais chacune dans ce qu’elle est. Un peu comme à Gibraltar, la mer et l’océan dans leur face-à-face.