Je veux bien qu'un Arabe de Palestine me raconte des histoires de guerre, à mourir debout. Des comptes pour enfants martyrs.
Mais je n'accepte pas l'arbitrage de téléspectateurs voyeurs, zappeurs qui ne savent rien, ni de la Judée, ni de la Palestine, ni d'Oslo, qui se contentent de répéter les coquecigrues de José Bové, roi des nouveaux beauf.