« Pourquoi ne s’éleva-t-il pas une voix pour appeler à la lutte contre l’ennemi de classe, contre le grand propriétaire foncier, l’usinier, les gendarmes, le roi, le clergé ? Parce que l’organisation politique du prolétariat n’était pas à la hauteur des circonstances »
(au moment de la débâcle de l’armée italienne à Caporetto)