Rien n’est pire, dit enfin Mena, que de s’exiler de son propre pays, où les pierres elles-mêmes vous connaissent, et les laisser sur la route derrière soi doit briser le cœur. « Heureux l’oiseau qui fait son nid dans son berceau. »
(p. 244, Chapitre 11).