La République devait voir, qu'elle allait cesser d'être soumise à des loix légitimes, c'est à dire, aux loix l'expression de la volonté générale, proposées par ses délégués, et sanctionnées par le Peuple, pour ramper sous de loix l'expression de la volonté d'un ou de quelques hommes qui auraient manoeuvré pour s'approprier à eux seuls le domaine de l'édifice des loix :
qui, au lieu d'être la construction de tous les architectes choisis par le Peuple, ne devenait plus que celle d'une coterie...