L'art de vivre
Quand j'étais jeune, j'étais idéaliste. Je voyais beauté, émerveillement et sens partout où je regardais.
En mûrissant, je suis devenu réaliste. Je découvrais un monde aux contours sacrées et aux vérités difficiles.
C'était usant. Alors j'ai décidé de virer surréaliste. Et tout est devenue très étrange à partir de là. (p. 119)