Je tourne mes yeux vers le Ciel...
les orphelins gardent toujours l'espoir
de retrouver leur père... Ô père,
tel est l'espoir que Tu nous as donné...
le doute est notre lot.
Oh, souviens-Toi, souviens-Toi,
n'oublie pas ta Promesse d'amour,
en vérité, celle d'être avec nous
jusqu'à la fin du monde
poème de Grégoire de Narek, théologien, poète et philosophe d'Arménie au Xe siècle