La plupart étaient fins saouls, assoupis, hurlant des chansons confuses ou des contes de guerres inconnues, tandis que d’autres étaient occupés à se presser derrière des servantes qui, robe relevée, penchées en avant, les laissaient faire. Tous ressemblaient à des bêtes rendues folles, forniquant sans plaisir, aboyant sans être entendues et comprises.