C’est une chose qui me dépasse l’amour de la mer. Je veux dire, je l’aime bien aussi la mer, je la trouve belle et je sais le bonheur qu’il y a à voir les jolis bleus et aussi je la trouve forte et puissante quand les tempêtes s’en viennent. Mais l’aimer au point qu’elle manque, je ne comprends pas. […] Ils sont sûrement faits différemment des autres, les marins, je me dis.