Il m’a fallu traverser une mer et quelques blocs européens pour trouver ce refrain, dont la bande vieillie par le temps avait d’abord été chantée par l’écrivain Panait Istrati pour être finalement décriée par ce même auteur au moment du bilan final de sa vie. Je n’en suis pas encore là, simple bilan de routine, mais je suis tellement heureux de pouvoir à mon tour chanter la douce comptine de l’amitié.
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