Nous vivons sous le joug de l'indignation permanente. Elle oppresse quiconque s’étonnera des non-sens ou s'élèvera contre l'ubuesque et harcèle les rétifs aux bouleversements sociétaux imposés par les communautarismes. La minorité nous dicte que l'anormal doit devenir la norme, et que la normalité est désormais oppressante, discriminante, insultante.