Ce verbiage d’agent immobilier l’enrageait presque. Il considérait que ce vocabulaire prémâché, que l’agent utilisait par mimétisme bêlant, n’avait pour objet que de combler la vacuité de ces recalés des facultés de droit, de ces vendeurs de soupe recyclés, de ces notaires du pauvre qui ne connaissent que trop rarement les maisons et appartements qu’ils ont en catalogue et se contentent d’engloutir de grasses commissions sur les transactions qui viennent à eux.