La population mondiale quant à elle ne mesure pas la gravité du phénomène. Au fil des années, je ressentais de manière diffuse que les méthodes avaient radicalement changé depuis mon début d’activité, en 1997. Je sentais que ce changement se faisait au détriment du bien-être des citoyens, et que nous devions à tout prix imprimer un point d’inflexion à ce mouvement. J’aperçois maintenant une silhouette se dessiner, celle d’une société qui tend, de manière quasi irrémédiable, à un contrôle de la masse des populations par une minorité de plus en plus étroite.