Elle serra les cuisses et se pencha un peu en avant. Je pris un téton dans la bouche et je le suçai, tandis que mon doigt jouait avec son clitoris, que je découvris dans un état aussi excitant que possible. Bientôt ma main se glissa entre les cuisses et un, deux, trois doigts pénétrèrent dans le con.
Elle voulait s'en aller, mais je la poussai contre la muraille. Je sentais tout son corps frémir sous son léger vêtement. Vite je sortis mon vit et le poussai dans le con. La position était incommode, et comme la jeune fille était grande et forte, je n'aurais pas pu la baiser si elle n'y avais mis du sien. Je la baisai ainsi debout. Elle devait être très chaude, car ça lui vint très vite.