Derrière son sourire, derrière le masque teinté d’une légère arrogance, je devinais une souffrance que je n’avais pas perçue à l’époque. Tout au moins une insécurité qui me confirmait ce que j’avais expérimenté plus tard en côtoyant d’autres femmes : la beauté était aussi une expérience intellectuelle, un pouvoir fragile dont on ne savait parfois plus très bien si on était en train de l’exercer ou de le subir.