Le vie d’un homme est l’intervalle entre sa première et sa dernière respiration.
Mes plongées se déroulent entre une dernière et une première inspiration.
Il y a là un chemin inversé, une voie explorée en contre-allée, une rupture avec le bon sens qui veut que respirer soit d’une évidence jamais sondée, d’une banalité nullement remise en cause, jusqu’à la dernière heure qui promènera un miroir au-dessus des lèvres bleuies et déduira de l’absence de buée sur la glace que le dernier souffle est rendu.