Plus les marchés sont ouverts, plus les hommes et les entreprises sont mobiles, et plus il sera difficile de taxer, donc de redistribuer. Et, à l'inverse, la fiscalité croissante sera supportée par ceux qui demeurent relativement immobiles : les classes moyennes, et les petites et moyennes entreprises domestiques. Le système fiscal qui en résulte pénalise l'enracinement et incite au nomadisme.