Rédigé aujourd'hui, c'est-à-dire confronté à ces grands émois insipides que tolère la domination du capital et de la technologie quand elle ne les formule et ne les dissémine pas elle-même, ce livre eût peut-être reçu un autre titre que l'on se plaît à imaginer ainsi : Misère de l'indignation. (Note de l'éditeur)