Pourtant, César Franck, dès lors, était plus qu’un virtuose : le grand art l’attirait invinciblement. Il n’avait aucun goût pour les tours de force en faveur à cette époque. Déjà, comme il le restera toujours, modeste jusqu'à la timidité et d’un désintéressement absolu, les succès factices ne le tentaient en aucune façon.