Il s’en excusait en disant que, nouvellement marié à une jeune femme de l’aristocratie, il avait bien le droit de se réchauffer un peu à ses charmes. Il oubliait que sa situation n’était pas celle du commun des mortels : son poste était celui de geôlier de l’Europe, dont la moitié au moins attendait et surveillait le moment de s’échapper et de briser ses chaînes. Le moindre relâchement devait lui être fatal.