« Décidément, elle différait du tout au tout non seulement de ses collègues des « affaires d’eau », mais aussi des jeunes secrétaires, contraintes de rivaliser de niaiserie et de timidité afin de ne pas mettre en danger leurs chances de mariage en apparaissant intelligentes ou décidées. Et bien sûr des femmes au foyer, délicats pétales de cerisier vite fanés, innombrables victimes sacrificielles au dieu prospérité. » p 239