Citations de Hank Vogel (184)
Pourquoi cacher sa face? On a la face que l’on mérite. Moi, je ne mérite rien, c’est pourquoi il y a beaucoup de personnes qui ont de la peine à me reconnaître.
Si le cinéma existait déjà au temps d’Hugo, Victor aurait eu certainement une caméra parmi ses plumes.
Un cordonnier mal chaussé, un tailleur mal habillé, un médecin malade, une strip-teaseuse frileuse... c’est à ces gens-là qu’il faut demander d’ouvrir le carnaval.
La nuit, tous les chats sont gris, toutes les femmes sont belles et tous les hommes sont des singes.
Du singe à l’homme, il n’y a qu’un pas: l’oubli de soi.
Les femmes me trouvent souvent intelligent et elles adorent discuter avec moi. La raison est toute simple, je passe mon temps à les écouter, sans jamais dire un mot bien entendu
Un enfant dans ses bras, c’est tout un royaume de tendresse que l’on serre contre soi. Malheureusement, quand on se rend compte de cela, il est trop tard, l’enfant est devenu un homme ou une femme et on n’a plus la force de serrer quoi que ce soit.
Les sociétés les mieux organisées, ce sont celles qui n’ont plus rien de fabuleux à nous offrir. Elles sont pleines d'asiles et de toilettes pour chien.
Celui qui rêve de devenir riche ou célèbre s’est déjà enrichi d’illusions.
Dans le bouddhisme, on ne parle jamais de Dieu. Bouddha était si sage qu’il ne dérangeait personne.
Dans un système trop ordonné, un grain de sable suffit pour que tout ne fonctionne plus. Faites confiance à vos yeux!
La sagesse est invisible. Le vrai sage s’efface aux yeux du monde.
Celui qui sait ce qu’il vaut n’a plus qu’à se prostituer.
Les femmes montrent leurs jambes. Les hommes, la clé de leur voiture.
La jeune fille ou la jeune femme, qui rêve d’épouser un homme riche, beau et intelligent, ferait une excellente épicière.
Une femme appelle son chien. Elle ferait mieux de rappeler son mari qui est parti à l’usine travailler comme un chien.
Celui qui n’a rien à dire a tout à redire. Que de discours m’ont fait penser à ma photocopieuse!
Une femme en vaut une autre pour le marchand de tapis. Mais pour le poète, qui rêve de tapis volants, une femme vaut un voyage, vaut le déplacement.
La civilisation a fait de l’homme un nostalgique de la vie sauvage. En vacances, il essaye de se libérer de tous ses soucis. Parfois même de sa femme ou de son mari.
Dans cette société chargée de morales et de règlements contradictoires, l’homme libre, et surtout honnête, a de la peine à survivre.