D'emblée, j'avais voulu ne pas être catalogué spécifiquement comme un "écrivain japonais" et me placer sur le même terrain que les auteurs américains. J'ai trouvé moi-même un traducteur, fait traduire mon texte, je l'ai relu et j'avais adressé ce manuscrit rédigé en anglais à mon agent, pour qu'elle le vende à un éditeur. De cette manière, aussi bien mon agent que mon éditeur me traitaient comme un auteur américain. (...) J'étais totalement intégré dans le système.