Lisez les lettres que le jeune Mozart écrivait d'Italie, et vous verrez qu'il n'est question que de chanteurs et de cantatrices ; les danseurs aussi l'intéressent par moments ; mais du Vatican et du Colisée, pas un mot.
On était musicien, rien de plus, rien de moins, et le maître, en composant son ouvrage, ne se proposait d'autre but que d'y entasser toute sorte de richesses musicales.