« Jim était vraiment un poète. Il ne parlait pas beaucoup. Il était tranquille. C’était un contemplatif et un rêveur. Lorsque je le photographiais, il parlait rarement. Parfois, il ne me remarquait pas, et parfois il me regardait de telle façon qu’il m’était impossible de deviner à quoi il pensait. Comment aurait-on pu savoir ? » (p. 112)