Pourquoi nous faut-il commencer ce livre par une constatation décevante? Pourquoi, dés les premiers mots de cette étude consacrée à un Maître Décorateur, faut-il reconnaître que la Peinture décorative, si elle n’agonise point encore, est du moins bien malade? L’aveu assurément est pénible, mais que sert-il de marchander les mots? A quoi bon nier un mal trop évident? Mieux vaut, s’il est possible, en rechercher les causes.