La haine d’un Espagnol est comme l’insomnie… vous pouvez l’esquiver un moment, mais elle finit par vous mettre le grappin dessus. Les vauriens tiennent toujours les promesses qu’ils se font à eux-mêmes… Un ennemi à bord est une sacrée partie de plaisir. On se trouve comme des taureaux attachés dans le même champ. On peut se tenir tranquille une demi-minute, mais pas quand on est acculé. Même quand le gars se montre amical avec vous, ses faveurs ont un arrière-goût douteux. Traiter avec lui est comme boire dans un gobelet d’étain. Et c’est partout la même chose.