— Oh ! moi ? On ne peut plus me tuer. J’ai la vie dure, comme une pierre. Il y a longtemps que j’ai traversé tous mes malheurs ; j’ai subi ce que vous n’aurez jamais à subir ; j’ai souhaité mourir bien des fois, et toujours survécu. Nos ennuis ne nous tuent jamais, Principe mio ; c’est à nous d’essayer de les tuer. J’en ai enterré pas mal. [...]