Mais l’amour, Benjamin Grønelv, c’est un don. Qu’il faut protéger. Il peut naître tard ou tôt dans la vie. Mais il n’est pas pour les gens qui le distribuent comme des rations à des prisonniers de guerre. C’est une force pour les rares personnes qui savent tout donner, et tout accepter. C’est pourquoi je me suis retrouvée parmi des étrangers. À cause de l’amour.