Tiré de Rosshalde ...Si cela peut adoucir ta peine lui dit-il, n'oublie pas que Pierre n'appartenait plus qu' à moi, puisque tu m'avais accordé de le garder auprès de moi. Je te remercie de ta générosité, laisse moi te le redire. Évidemment, quand tu m'en as parlé, je savais déjà qu'il allait mourir.