Nous n’avions rien à préparer, le terrain était sans doute aussi parfait que le stade de Dortmund. Aucune vache ne viendrait le traverser. Yakobo allait garder ses chaussures aux pieds. Le public – si on avait du public – serait complètement différent. J’eus une pensée un peu nostalgique pour nos spectateurs de Bagamoyo et notre terrain de foot.