Or il y avait une obscurité sans limites dans l'abîme, et de l'eau, et un souffle subtil intelligent, tout cela existant dans le chaos par la puissance divine. Or donc il s'élança une lumière sainte et, se détachant de la substance humide, les éléments se condensèrent [...], et tous les dieux divisent les êtres de la nature germinale. En effet, alors que toutes choses étaient indéfinies et non formées, les éléments légers se séparèrent des autres, allant vers le haut, et les éléments lourds reposèrent sur le fondement du sable humide, tout l'univers étant divisé en ses parties sous l'action du feu et maintenu en suspens de manière à être véhiculé par le souffle.