Dans l'immersion, tout etait affaire de gout. Seule l'inclination personnelle permettait de plonger dans une oeuvre musicale, litteraire ou picturale. Les gouts de Roberta lui avaient permis de visiter Paris a califourchon sur la plume de Zola, de galoper fougueusement sur les lacs de glace orchestrés par Prokofiev, d'admirer le ciel nocturne de Bagdad grace a la Scheherazade de Rimski-Korsakov, de chanter avec Peau d'Ane dans un chateau de carton-pate.